Récemment, j'ai reçu par mail une newsletter d'emploi-pro. Quelle fut ma surprise d'y trouver un lien pour télécharger le guide gratuit "Les métiers pour l'environnement" !
Différents grands thèmes y sont abordés :
- L’environnement dans l’économie : « Écoles et universités intègrent de plus en plus la thématique du développement durable dans leurs formations, mais les offres d’emplois ne sont pas au rendez-vous. Dans les entreprises, les directions du développement durable comptent tout au plus deux ou trois personnes et il y en a uniquement dans les grands groupes»
- Le marché du recrutement : «En 2009...Les jeunes diplômés n’ont représenté qu’une centaine d’embauches…»... « Quand les candidats pensent aux métiers de l’environnement, ils ont surtout en tête les experts confirmés en développement durable et questions environnementales, présents dans les grosses entreprises. Mais il ne faut pas se focaliser sur ces rares opportunités. Il faut bien comprendre que les métiers de la croissance verte ne se limitent pas à l’éclosion de compétences spécifiques et inédites dans quelques filières spécialisées. Très diversifiés, ces métiers sont également très hétérogènes dans leurs qualifications : certains sont occupés par des cadres, mais la grande majorité concerne des professionnels titulaires d’un diplôme de niveau bac.»
- Les entreprises phares
- Les fonctions en vue : «Dans son étude parue en début d’année, le cabinet de recrutement Michael Page identifiait 17, emplois verts, figurant parmi les profils les plus recherchés par les
entreprises. Parmi eux, il y avait une majorité de postes à bac + 5 et plus, comme l’ingénieur en efficacité énergétique des bâtiments, l’expert bilan carbone ou le chef de projet en hydraulique fluviale. Autres métiers qui ont la cote : le responsable HQSE (Hygiène qualité, sécurité, environnement), l’ingénieur en génie civil ou en génie hydraulique. Ce sont les diplômés d’écoles d’ingénieurs qui ont le plus de chances d’obtenir ces postes, surtout s’ils ont suivi une spécialisation en environnement, qualité, énergie… Du côté du développement durable, entreprises et cabinets de conseil recherchent également des profils à bac + 5 (majoritairement issus des grandes écoles de commerce ou d’ingénieurs, les candidats peuvent aussi avoir suivi des formations de sciences politiques ou être titulaires de masters universitaires).»
- Vers l’entreprise idéale
- Réussir son embauche
- Négocier sa rémunération : des fourchettes de salaires sont données pour les bac +5 débutants, notamment pour les grands groupes. Mais lorsque l'on suit les offres d'emploi quotidiennes comme moi... Je crois que l'on est loin de tout cela!
- Vivre au jour le jour
- Se former
- Faire carrière
J'avoue que ce guide est très bien fait. Il donne des idées de formations, les groupes impliqués dans le domaine environnemental, les secteurs porteurs... La partie concernant les emplois, les CV et les rémunérations est très intéressante. Une lecture indispensable!
Différents grands thèmes y sont abordés :
- L’environnement dans l’économie : « Écoles et universités intègrent de plus en plus la thématique du développement durable dans leurs formations, mais les offres d’emplois ne sont pas au rendez-vous. Dans les entreprises, les directions du développement durable comptent tout au plus deux ou trois personnes et il y en a uniquement dans les grands groupes»
- Le marché du recrutement : «En 2009...Les jeunes diplômés n’ont représenté qu’une centaine d’embauches…»... « Quand les candidats pensent aux métiers de l’environnement, ils ont surtout en tête les experts confirmés en développement durable et questions environnementales, présents dans les grosses entreprises. Mais il ne faut pas se focaliser sur ces rares opportunités. Il faut bien comprendre que les métiers de la croissance verte ne se limitent pas à l’éclosion de compétences spécifiques et inédites dans quelques filières spécialisées. Très diversifiés, ces métiers sont également très hétérogènes dans leurs qualifications : certains sont occupés par des cadres, mais la grande majorité concerne des professionnels titulaires d’un diplôme de niveau bac.»
- Les entreprises phares
- Les fonctions en vue : «Dans son étude parue en début d’année, le cabinet de recrutement Michael Page identifiait 17, emplois verts, figurant parmi les profils les plus recherchés par les
entreprises. Parmi eux, il y avait une majorité de postes à bac + 5 et plus, comme l’ingénieur en efficacité énergétique des bâtiments, l’expert bilan carbone ou le chef de projet en hydraulique fluviale. Autres métiers qui ont la cote : le responsable HQSE (Hygiène qualité, sécurité, environnement), l’ingénieur en génie civil ou en génie hydraulique. Ce sont les diplômés d’écoles d’ingénieurs qui ont le plus de chances d’obtenir ces postes, surtout s’ils ont suivi une spécialisation en environnement, qualité, énergie… Du côté du développement durable, entreprises et cabinets de conseil recherchent également des profils à bac + 5 (majoritairement issus des grandes écoles de commerce ou d’ingénieurs, les candidats peuvent aussi avoir suivi des formations de sciences politiques ou être titulaires de masters universitaires).»
- Vers l’entreprise idéale
- Réussir son embauche
- Négocier sa rémunération : des fourchettes de salaires sont données pour les bac +5 débutants, notamment pour les grands groupes. Mais lorsque l'on suit les offres d'emploi quotidiennes comme moi... Je crois que l'on est loin de tout cela!
- Vivre au jour le jour
- Se former
- Faire carrière
J'avoue que ce guide est très bien fait. Il donne des idées de formations, les groupes impliqués dans le domaine environnemental, les secteurs porteurs... La partie concernant les emplois, les CV et les rémunérations est très intéressante. Une lecture indispensable!
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